La Fondation Sirta est une société biomédicale reconnue pour ses actions humanitaires et ses découvertes révolutionnaires en génétique. La Fondation a fait sa fortune dans l'élimination de plusieurs maladies génétiques dont souffraient les populations humaines. Sirta est également à l'origine du médigel, qui bien que techniquement illégal en vertu des lois de la Citadelle, s'est révélé trop précieux pour être interdit.
En 2183, une installation de la Fondation Sirta sur Chohe est attaquée par un groupe de fanatiques biotiques, lesquels prennent en otage l'ensemble du personnel de l'installation. Le commandant Shepard est amené, sur demande de l'amiral Hackett, à résoudre la situation. Les conséquences dépendent du nombre de scientifiques de Sirta ayant survécu.
En 2185, la Fondation Sirta est dans une situation financière difficile, ne s'étant toujours pas remise de l'attaque contre son installation sur Chohe 2 ans plus tôt. Il fut même question un temps de déclarer faillite et de dissoudre la Fondation. Heureusement, les colons asaris sur Lusia découvrirent du platine en abondance sur la grande lune de Pronoia et décidèrent de le vendre à la Fondation Sirta pour un prix inférieur aux cours du marché. Cette décote semble avoir à elle seule sauvée l'entreprise de la faillite.
Sirta refuse par principe de produire des armes ou n'importe quel équipement offensif mais propose de nombreux équipements défensifs ou utilitaires allant de l'armure à l'Omni-tech en passant par les amplis biotiques. Les armures de la Fondation Sirta ont la particularité de régénérer la santé de leur porteur. Les licences d'exploitation des produits de la Fondation Sirta peuvent être acquises moyennant une centaine de crédits auprès de Delan au Présidium (Citadelle), auprès de Petozi sur Novéria ou encore auprès du commandant Rentola, une fois ce dernier évacué de Virmire avec son équipe à bord du Normandy SR1
La Fondation Sirta propose la ligne d'armures Phoenix aux utilisateurs humains, asaris, turien, quariens et krogans dans Mass Effect 1. Toutefois, bien que les humains et asaris puissent porter toutes les configurations de ce modèle d'armure, il en est autrement pour les autres races. En effet, les quariens ne peuvent porter que la configuration légère des Phoenix, les turiens sont également limités aux configurations légères et médiums tandis que les krogans ne peuvent porter que des configurations médiums et lourdes.
Le catalogue de Sirta s'est étendu avec l'arrivée de trois nouvelles pièces d'armure compatibles avec les armures N7. Tout d'abord les spalières d'augmentation de force, incorporant une série de micro-servos et anneaux en béryllium léger et tungstène pour soutenir et renforcer les mouvements naturels du porteur. Elles permettent ainsi d'obtenir une augmentation significative de la puissance des coups donnés par l'utilisateur. Cette technologie fut développée à l'origine par Sirta pour aider aux premières phases d'établissement de colonies avant d'être adapté à des fins plus martiales.
A l'instar des spalières, les conduits de stimulation sont des jambières intégrant des micro-servos et anneaux en béryllium léger et tungstène pour soutenir et renforcer les mouvements naturels de leur porteur sur de courtes périodes. Ce faisant, ces jambières permettent une augmentation de la vitesse de déplacement en sprint. Cette technologie a également été détournée de son usage premier pour un emploi militaire, Sirta l'ayant à l'origine développé pour le personnel de recherche et de sauvetage.
Enfin, la Fondation ajouta un second modèle de jambière: les sangles de support de vie. Ces pièces d'armure constitue une innovation intéressante de la part de la Fondation Sirta, puisqu'elles intègrent un système complexe de micro-stimulants et de médigel permettant d'augmenter les chances de survie du personnel humanitaire ou militaire travaillant en environnement hostile.
Sirta propose également sur le marché des Omni-techs les équipements de la ligne Chameleon, dont l'usage reste toutefois assez spécifique.
La Fondation propose aussi la gamme d'amplis biotiques Unity.