Description[]
La planète d'origine des Galariens a souvent été comparée aux jungles terriennes : jolies à regarder, débordantes de vie et dangereuses à habiter pour les imprudents. Les Galariens technophiles ont été confrontés à de nombreux problèmes de pollution dans les premières phases de développement de leur société. Ils se sont assez rapidement tournés vers des solutions sociales, et grâce à des règles de reproduction complexes, Sur'Kesh arrive aujourd'hui à maintenir une population nombreuse et durable. La planète est légèrement plus humide que la Terre , et les villes galariennes prennent toutes les mesures nécessaires pour récupérer et redistribuer l'eau... rien d'étonnant de la part d'une espèce amphibie.
Grâce à sa position dans la galaxie, loin de l'Abîme, Sur'Kesh n'a pas encore été envahie par les Moissonneurs . Cela étant, ses dirigeants sont loin d'ignorer que la planète se trouve bel et bien dans leur ligne de mire. Beaucoup lui donnent d'ailleurs peu de chances de survie, sa doctrine militaire obligeant en effet son armée à ne pas porter le premier coup.
Codex[]
Alternant océans et continents luxuriants, Sur’Kesh, le monde d’origine des Galariens, est réputé pour son climat humide et sa végétation dense. De même que la forêt vierge qui recouvrait jadis la Terre, les nombreuses forêts de cette planète abritent une biodiversité très riche. Le désir de stimulation intellectuelle qu’éprouvent les Galariens les a poussés, il y a bien longtemps, à explorer chaque aspect de leur environnement pour inventer de nouvelles façons de prospérer sans nuire à leur habitat.
Les régions proches des grandes villes et des centres industriels sont méticuleusement entretenues, et bien aménagées, de manière à ce que la lumière du soleil atteigne bien le sol et que les chemins tracés dans la jungle soient bien praticables.
La chalevère, une herbe fertilisante native de Sur’Kesh, est devenue un des produits les plus exportés car très appréciée pour la terraformation.